Le procès de l’Evolution : La datation

Le procès de l’Evolution : La datation

Dans cet article nous allons nous intéresser à la datation des fossiles. La datation joue un rôle prépondérant dans la théorie de l'Évolution. En effet, elle permet de dire que les fossiles retrouvés ont bien des millions d’années et donc qu’ils sont le résultat d’une très longue et pénible évolution.

Comprenons d’abord en quoi consiste cette datation. La datation des fossiles repose sur la radioactivité ou la désintégration des atomes dans le temps. Au bout d'un certain nombre d’années, un atome père instable va se dégrader en atome fils. Cette dégradation dans le temps est supposée stable et régulière. Les chercheurs vont donc analyser la composition en atome fils dans le fossile qu’ils ont retrouvé et la comparer à des valeurs de références qui permettent de savoir la composition d’atome fils quand l’animal était encore vivant. Ainsi la différence entre les deux va permettre aux chercheurs de retrouver l'âge du fossile. C’est assez simplifié mais globalement vous avez le principe.

La dégradation des atomes est géniale, c’est la méthode de datation qui va nous poser problème. En effet, pour que cela colle à l'Evolution, il faut faire 3 grandes présuppositions :

  • Présupposer connaître le nombre d’atomes fils quand l’animal était encore vivant.
  • Présupposer que tous les atomes fils viennent de la dégradation des atomes père. Qu’il n’y a pas eu de contamination.
  • Présupposer que la dégradation des atomes père en atome fils n’a pas varié dans le temps.

Tout d’abord, il faut admettre qu’aucune de ces présuppositions n'est vérifiable. En effet, personne n’était présent de la mort de l’animal à la découverte du fossile pour vérifier les affirmations. On peut même aller jusqu'à dire qu’elles ne sont pas scientifiques. La seule raison pour laquelle ils considèrent ces affirmations comme vraies, est parce qu’elles sont essentielles pour prouver l'évolution.

 

Pour la 1ère présupposition, la littérature scientifique démontre à plusieurs reprises qu’on ne peut détecter avec exactitude le nombre d’atomes en dégradation à l’instant T et à combien plus forte raison, connaitre le nombre d’atomes fils présents dans un organisme remontant à plusieurs “millions” d'années en arrière.

De même, pour la 2ème présupposition. C’est une aberration que de croire que tous les atomes fils présents dans un organisme proviennent seulement de la dégradation des atomes pères. Les professeurs Andrew Snelling et Steve Ostin (AnswersInGenesis) ont voulu faire le test. Avec l’éruption du Mont St Helens (1986), des couches de laves se sont formées en surface, créant de nouvelles roches. On savait donc, par observation, que ces roches venaient d’être créées. En 1996, les échantillons ont été envoyés pour analyses. Résultats: Par la méthode de datation de l’Ar (Atome d’Argon) les roches avaient 0.35 Millions d’années.

Pourquoi ? Car les scientifiques n’avaient pas prit en compte la contamination. En effet, les gaz volcaniques contiennent de l'argon qui s’est déposé sur la lave en mouvement, faussant ainsi les analyses. C’est l’exemple de l’Argon, mais je pourrai vous citer des dizaines d’erreurs d’analyses avec d’autres types d’atomes et pour lesquelles les analyses étaient erronées : Hualalai à Hawaii (éruption 1800 av JC et roches datées à 1.4 Millions d’années), l’Etna en Silice (éruption en 122 av JC puis 1792 et des roches datées à 0.25 et 0.35 millions d’années)...

Concernant la vitesse de dégradation des atomes. J’utiliserai simplement un exemple : Celui du Basalte de Cardenas. Si l'Évolution dit vrai, peut importe l’atome que nous analysons, nous devrions toujours avoir un même résultat. En effet, si on prend en compte leur temps de vie respectifs, les différents isotopes d’un même fossile doivent permettre de retrouver un âge similaire, si leur vitesse de dégradation est constante. Sauf que dans le cas du Basalte de Cardenas, la datation au Potassium-Argon à donné 516 Millions d’années et celle au Rubidium-Strontium 1,111 Millions d’années. Des datations significativement différentes les unes des autres.

Pourquoi ? Parce que la dégradation de chaque isotope n’a pas été régulière dans le temps. Il y a eu un moment où la dégradation a été accélérée pour le Rubidium-Strontium et donc il indique un âge bien plus grand que le Potassium-Argon. Et qu’est ce qui aurait bien pu provoquer la dégradation accélérée de ces isotopes ? Eh bien le déluge, qui a rendu l'environnement atomique tellement instable, provoquant des dégradations accélérées.

Alors certains vont dire que ce n’est pas forcément le déluge qui a provoqué ce phénomène (météorites, etc…). D’accord mais peu importe, car cela implique qu’il y a eu une accélération de la dégradation atomique et donc que toute la méthode de datation tombe à l’eau et par conséquent, l’évolution elle-même.

23 ans. Amateur de boxe et de tir. Sauvé par Grace, vivant pour la Gloire de Christ.

Tags de l'article:
Aucun tags...
Les derniers commentaires
Aucun commentaire pour le moment. Laissez-en un avec le formulaire ci-dessous !
Envoyer un commentaire
Merci ! Nous avons bien reçu votre commentaire. Celui-ci sera publié sous peu, le temps d'être vérifié par notre équipe.
Mince, ça ne s'est pas passé comme prévu.
Table des matières