C’est une bonne chose, au milieu des épreuves de la vie, de se rappeler de cette grâce et de cette découverte. Je t’invite à faire cela par cette prière “La Grande Découverte” écrite il y a quelques siècles :
Glorieux Dieu,
Je te bénis de ce que je te connais.
Je vivais dans le monde, mais j'étais ignorant de son Créateur;
J’étais bénéficiaire de tes providences mais je ne connaissais pas le pourvoyeur;
J’étais aveugle tout en profitant de la lumière du soleil;
J’étais sourd à tout ce qui est spirituel, aux voix tout autour de moi;
Je comprenais beaucoup de choses, mais n’avais aucune connaissance de tes voies;
Je voyais le monde, mais ne voyais pas uniquement Jésus.
Ô jour heureux, quand, dans ton amour souverain, tu as abaissé le regard sur moi et m’as appelé par grâce.
Alors le cœur mort s’est mis à battre,
L’œil obscurci à scintiller de lumière,
L’oreille sourde à capter ton écho,
Et je me suis tourné vers toi et je t’ai trouvé,
Un Dieu prêt à entendre, désireux de sauver.
[...]
Accorde moi de pleurer toujours à la louange de la miséricorde trouvée,
Et la transmettre aux autres aussi longtemps que je vis,
Que tu es un Dieu qui pardonne le péché,
Qui s'empare du blasphémateur et de l’impie,
Et qui les lave de leurs plus profondes souillures.
Extrait du livre : La Vallée de la vision (publié avec autorisation)
